Journal Intime D’Une Pute En Devenir

N°02
La suite de mon journal intime

Lundi 18h30
Je ne sais pas ce qui m’a pris, il est venu me chercher cet APM, pour sa petite pipe et j’ai refusé de faire quelque chose, si bien qu’au bout d’un moment, il avait l’air très en colère et m’a dit «quand tu sauras ce que tu veux ! ! » Et puis il m’a ramené.
Avant de se quitter «si tu changes d’avis appelles moi » et puis ça c’est terminé comme cela.
Je crois que j’ai fait fort, je pars bientôt sur la région parisienne et j’ai voulu savoir comment il allait réagir. Je suis servie.

Jeudi 18 H 00
Je n’ai pas écrit sur ce livre depuis lundi soir, là je crois que j’ai vraiment fait une connerie lundi et je ne sais pas comment ça va se passer. Je vais lui téléphoner demain matin savoir s’il peut me recevoir, j’espère car je l’aime trop et je suis décidée à faire ce qu’il me demande.
J’ai bien reçu le petit magnéto miniature que j’avais commandé à une boite de surveillance.
Je l’ai installé dans la doublure de mon sac on ne le voit pas, le micro est en face d’un œillet de ventilation et j’arrive à le mettre en route en appuyant à un endroit précis de mon sac.
Il se déclenche au bruit ou à la voix et ça a l’air de bien fonctionner on verra ça si je le vois bien sur !!!

Vendredi 13h
Je crois que ça s’arrange, je lui ai téléphoné ce matin pour lui demander si je pouvais passer le voir, il m’a dit au tel «alors tu t’es calmée ? » je lui ai répondu que oui, il m’a demandé si je ne ferais pas de crise et si je ferais ce qu’il veut, je lui ai dit oui.
Alors, il m’a dit de passer au bureau en début APM, 13h30 pour que l’on soit tranquille.

Vendredi 18h
Je me suis pointée à l’heure dite, j’avais pensé a déclencher mon magnéto, je tremblais un peu, il était là, dès que je l’ai vue, il a sourit et il m’a demandée si j’étais calmée, bien sur, je lui ai dit que oui et que je ferais ce qu’il voudra, il m’a dit «on verra, tu as intérêt ! ! » et aussitôt il m’a collé contre la cloison comme il a l’habitude de le faire, bien sur j’avais mis ma jupe car il a l’air d’aimer cela, il m’a aussitôt retrousser, et m’a baisser mon slip jusqu’au chevilles, il s’est mit à me caresser aussitôt intensément, pendant que je passais ma main sur son pantalon et que je sentais son sexe se durcir, Après m’avoir caressée un moment, il ma attrapée, m’a forcer à m’accroupir, je sentais ce qu’il voulait, il a sorti son sexe qui était bien raide, et me l’a collé dans la bouche, ce qui n’était pas un problème puisque j’en avais envie.

Au bout d’un moment après l’avoir bien léché de partout, un peu à ses ordres «lèches moi le gland, pompe moi, suces moi les couilles » et j’en passe, j’avoue quand même que j’aime ça et je commence à employer ses termes. Il m’a dit «eh bien on va voir si tu t’es calmée et si tu fais ce que je te demande »je lui ai dit «bien sur, je t’aime et tu fais ce que tu veux de moi » je m’entends encore lui dire ces paroles.
Il m’a mise au milieu de la pièce « allez déshabilles toi » comme j’hésitais un peu «mets-toi à poil, quoi ! ! ! C’est par dur » alors je me suis exécutée et en moins de deux j’étais vraiment nue au milieu du bureau, Je n’étais pas trop fière, mais j’aime ce sentiment un peu de peur et d’être obligée de faire ce qu’on demande, je dirais même d’être e, d’être comme un esclave qui doit obéir. « Ben voilà c’est bien » je ne bougeais ni ne parlais.
« Maintenant allonge toi sur le bureau »j‘avais remarqué en arrivant que son bureau était complètement débarrassé, mais je n’avais pas pensé à cela. Une fois allongée, il m’a bien redemandée s’il faisait ce qu’il voulait, et je lui ai confirmé. Il a alors sorti 4 sangles en toile d’un tiroir et a commencé à m’attacher les mains et les pieds aux 4 coins de son bureau, j’avoue alors que je me suis demandée quoi ? Mais d’un autre coté ça m’excitait d’être ainsi soumise. « T’es pas belle comme ça ? » C’est comme cela que j’aime les petites salopes dans ton genre » puis il a commencé à me caresser le corps, il s’est un peu attardé sur mes seins me les a pelotés, s’est amusé à me faire raidir les pointes «ça t’excite salope ! ! » Je ne répondais pas, puis il m’a demandé s’il pouvait faire ce qu’il voulait, je ne disais rien, «est ce que tu vas obéir » toujours pas de réponse, ça m’amusait, il défit alors sa ceinture et m’en flanqua un bon coup sur le ventre, j’étais un peu surprise, il me reposa la même question et me remis un coup, là je laissais échapper un oui, «mieux que cela »
«oui je vais t’obéir »
«tu ne crois pas que tu devrais être punie pour ce lundi de petite crise »
« oui »
«c’est bien, tu va avoir droit à 10 coups de fouet et en plus tu vas les compter » et il commença, je me mis à les compter « 1,2,3 »
« Plus fort je t’entends pas »
«3,4,5 » et ainsi de suite jusque 10, ça me piquait pas mal mais la situation me plaisait, déjà qu’il s’occupe de moi et ensuite le fait de subir. Après le dixième il me remit un coup
«tiens c’est du rab »
et j’ai crié « non »
« t’es une petite salope je suis sur que tu aimes ça » puis il descendit tout doucement vers ma chatte «voyons voir cette petite chatte » il commença à l’écarter pour me découvrir le clito qu’il se mit à caresser, je fermais les yeux, je me laissais faire, ça me plaisait
«une belle chatte qui va bientôt y passer, n’est ce pas »
« oui »
«t’en as envie »
«oui »
« elle a un peu trop de poils » et sur ce il attrapa une paire de ciseaux tira sur mes poils et se mis à les couper en longueur, je fus la première surprise de son geste mais je n’ai pas protesté, j’avais décidé de me laisser faire
« c’est pas mieux comme cela ,il va falloir réduire un peu tout cela, t’épiler un peu sur les bords, t’as compris »
« oui » puis il glissa sa bouche sur mon minou et se mis à me fouiller avec sa langue, cela dura un bon moment ou je ne pouvais m’empêcher de gigoter et de soupirer, puis il se retira et je le surpris à se mouiller le doigt, je ne savais pas ce qu’il allait faire, mais je le compris très vite car il me le rentra tout de suite dans l’anus, ça me fit drôle, il me détacha une main et me demanda de me branler la chatte qu’il tenait avec son autre main bien écartée.

J’arrête d’écouter (c’est super) et d’écrire un moment car j’ai envie de me faire jouir et d’essayer quelque chose ……..

Voilà j’ai bien joui, j’ai essayé un truc en pensant à son doigt dans mon derrière, je me suis rentré un capuchon de cigare en métal, ça n’étais pas trop gros et après l’avoir lubrifié avec la bouche ça allait bien et ça ma fait de nouvelles sensations, c’était bizarre, tout comme son doigt hier, j’aime !!!! Bon je reprends mon écoute (il marche super bien) et mes écrits, j’aime écrire tout cela en détail car j’ai l’impression de revivre ces moments et j’avoue que ça m’excite.
Quand j’y pense je suis quand même une petite salope de l’enregistrer comme ça.

Il me laissa me branler jusqu'à ce que je jouisse, il attendit que je reprenne mes esprits en me caressant et m’embrassant un peu partout, très câlin. Puis il me dit « à ton tour de me faire jouiret fais ça bien ! ! » et il s’allongea sur son bureau, je l’entrepris aussitôt et lui fit une de ces pipes car j’étais vraiment très échauffée. Je ne sais pas si la petite séance l’avait bien ecxité mais il me mit une de ces doses, j’adore sentir son sexe avoir ses pulsions et m’envoyer ses giclées dans la bouche. Je ne comprends pas certaines de mes copines qui m’avait dit tu verras c’est dégueulasse, moi j’en raffole. Au bout d’un moment, il s’est relevé puis il m’a dit qu’il fallait qu’on se renippe car il avait un RV, Je ne savais pas si c‘était vrai, on s’est rhabillé vite fait,
« tu ne remets pas ta culotte comme d’habitude ! »
« Non bien sur »
« et même tu me la laisse, comme ça je suis sure que tu ne la remets pas tout de suite, je te la rends un de ces soir, on va se voir bientôt, d’ailleurs quand tu viens me voir ici tu viens sans ? »
« D’accord » il m’a embrasée et je suis repartie bien contente de cette petite séance comme d’habitude un peu gênée de repartir dans la rue avec mon minou à l’air mais cette fois ci bien dépoilé

Je crois bien que j’ai raccroché un peu les wagons, j’ai tellement envie que ça soit lui le premier à me faire l’amour et j’aime qu’il me traite comme une esclave, comme si je lui appartenais.
J’ai un sentiment bizarre, j’ai envie de résister et puis d’un autre côté, je prends plaisir à ce qu’on m’oblige à faire quelque chose, je crois que j’aime être contrainte
Enfin ça recolle c’est déjà bien !!